30 novembre 2006
Desproges.
Ce matin encore, j'ai été frappé par cette incompréhension réciproque entre les humains et moi. J'étais allé avec ma femme acheter quelques bouteilles de vins au cœur du vieux Bercy, chez un petit négociant qui vous fait goûter ses crus avec un quignon de pain et une rondelle de saucisson. D'ailleurs, je ne comprends pas qu'on achète du vin sans l'avoir goûté au préalable. Il ne viendrait à personne l'idée d'acheter un pantalon sans l'essayer avant. Alors, Dieu me tire-bouchonne, ne refusez pas à votre bouche ce que vous accordez à vos fesses.
Pierre DESPROGES. Etonnant.... non ?
J'ai trouvé ce passage sur le blog "Parlons bien parlons vin". Je vous engage à aller y Lire la suite...
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