Spaghetti alla vongole
Evidemment, quelques semaines après notre périple, Venise et l’Italie occupent une bonne partie de mes pensées. Comment en irait-il autrement ? Du coup, ce soir j’improvise, totalement, d’improbables spaghetti alla vongole. J’achète donc 300 g de petites palourdes, du persil et de l’ail. J’y vais le nez au vent, me rappelant le résumé de la chose qui m’avait été fait par le patron de la trattoria Altanella.
Pour deux, je fais cuire al dente, et même un peu moins, 250 g de spaghetti. Un peu avant la fin de la cuisson je fais ouvrir les palourdes dans de l’huile d’olive chaude avec deux jolies gousses d’ail finement hachées. Je filtre le jus des palourde et fini de cuire les spaghetti dans ce jus, avec le persil. J’y ajoute les palourdes et pi c’est tout !
Pas d’échalote, pas de vin, rien d’autre que des palourdes, de l’ail, du persil (généreusement) de l’huile d’olive et évidemment des spaghettis. Franchement c’était bon, sans atteindre évidemment le niveau de ce que j’ai pu goûter là-bas. Peut être me faudra-t-il faire ouvrir les palourdes dans un peu de vin blanc. En fait mon principal souci a été de ne pas avoir assez de jus pour y faire revenir les spaghettis. Je ne vois franchement pas comment remédier à ce problème. La couleur de mon jus me rappelait ce que j’ai pu déguster à Venise mais côté quantité ce fut vraiment insuffisant. Si les lecteurs et lectrices de ce blog ont des tuyaux je suis évidemment preneur. Peut-être tout simplement simplement les mélanger avec le jus chaud et ne pas finir de les y cuire... En attendant de remédier à ce problème je me dis qu’il sera très sympathique d’accorder ce plat Italien avec un blanc Portugais, un Albariño de Deu la Deu par exemple.